La catananche céruléenne, ou cupidone bleue ainsi appelée pour ses pouvoirs dans les filtres d’amour (...), existe toujours dans la vallée. Elle était décrite en 1899 par l’instituteur A.J Jeanjean dans sa monographie des Touches de Périgny comme déjà rare et en voie de disparition.
Grâce à des amoureux de la nature et des plantes tout particulièrement, Joseph Péraud et Mme Guyot-Lacour, nous avons pu en voir, bien vivante sur la commune de Gibourne. Merci à eux et à Suzanne Roby pour leur passion et leur action. A ne pas confondre avec la chicorée bleue très répandue qui n’a qu’une rangée de pétales.
Le chêne tauzin ou chêne les Pyrénées a été retrouvé dans les bois de Chérac près de la fontaine de Font Rivaud grâce à André Dodin.
Retse à retrouver le cytise argenté. Avis aux chercheurs !