D’une discrétion forte, si on observe finement les chemins que l’on emprunte, on en trouve parfois en pleines chaleurs de l’été, en lisière d’un bois de chênes verts (yeuses) dans les Borderies.
D’une discrétion forte, si on observe finement les chemins que l’on emprunte, on en trouve parfois en pleines chaleurs de l’été, en lisière d’un bois de chênes verts (yeuses) dans les Borderies.